L’atelier de Ludwig Von Drake commençait à ressembler au laboratoire d’un savant diabolique de film d’horreur. C’était une vaste pièce aménagée dans le coffre de Picsou, elle était parsemée de cornettes, d’alambiques, de tubes à essais, de microscopes et de curieux appareils électriques bourdonnant de tous leurs boutons en débitant des informations sur cartes perforées, mais aussi des tables d’opération où gisaient des créatures à différents stades de maturité découpées en morceaux ainsi que des étagères où étaient alignés de grands bocaux contenant des araignées jaunes mortes ou vivantes.
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